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Les animaux ont été créés par Dieu
pour donner aux hommes
une impression de supériorité.

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26 novembre 2008 3 26 /11 /novembre /2008 14:47

YAOUNDE - Le Cameroun, un des pays les plus répressifs à l'égard du commerce illégal d'animaux protégés, n'arrive pas à juguler le trafic, car les contrebandiers savent se montrer audacieux et manier les pots-de-vin.

"Il y a chaque semaine une arrestation et une décision de justice prise contre un dealer", assure Ofir Drori, un Israélien, responsable de The Last Great Ape Organisation (Laga - L'Organisation du dernier grand singe).

Cette organisation, fondée en 2002 en Israël, a établi son siège à Yaoundé pour tenter de lutter aux côtés des autorités camerounaises contre le commerce illicite d'animaux protégés. En 2007, elle a mené 294 enquêtes qui ont abouti à 48 arrestations de trafiquants.

 

Les éléphants, les lions, les panthères, les perroquets, les chimpanzés et les gorilles sont les cibles favorites d'un commerce aux connexions internationales multiples. Selon certaines études, ce trafic représente la troisième source la plus importante de revenus illicites dans le monde après la drogue et les armes.

En décembre 2007, deux Camerounais et un Pakistanais ont tenté d'expédier un hippopotame vivant vers le Pakistan; il y a quelques mois, le directeur grec d'une compagnie d'exploitation forestière a été arrêté en possession de deux chimpanzés et de plusieurs perroquets.

Le trafic d'ivoire perdure lui aussi. "Beaucoup de gens pensent que ce trafic n'existe plus mais c'est loin d'être le cas", déplore Ofir Drori.

 

En 2006, une importante filière a ainsi été démantelée: pendant deux ans et demi, elle avait réussi à exporter tous les deux mois par bateau en Chine 600 défenses d'éléphants, abattus dans la sous-région et au-delà.

Ces coups de filet sont toujours menés avec la police et le ministère des Forêts et de la Faune (Minfof), dont l'implication n'était pas gagnée d'avance.

 

"La majorité des trafics sont centralisés, contrôlés par une élite, c'est-à-dire une personne qu'on dit +connectée+ à, par exemple, un membre du gouvernement qui donne son appui", constate Drori.

Le Cameroun est considéré comme l'un des pays les plus corrompus du monde et ses autorités ne sont pas toujours enclines à lutter contre les activités illicites. Mais, en 2007, des hauts responsables du ministère ont été limogés après la découverte d'un vaste commerce illégal de perroquets gris.

Plus de 1.000 de ces oiseaux protégés par la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction (Cites) avaient été saisis à l'aéroport de Douala (sud, capitale économique) alors qu'ils étaient en partance pour Bahreïn.

 

En août, la fille de l'ancien ministre et ancien directeur du port de Douala, Alphonse Siyam Siwé - incarcéré depuis 2006 pour détournements de fonds publics-, a été arrêtée et condamnée aux Etats-Unis à cinq ans de prison pour trafic d'ivoire. Elle avait bénéficié de complicités au port de Douala pour organiser son commerce.

"Grâce aux +opérations coup de poing+ que nous menons, le braconnage a ralenti, ceux qui sont impliqués se sentent menacés", a affirmé récemment à l'AFP le ministre des Forêts et de la Faune Elvis Ngolle Ngolle.

Chez Laga, on est moins optimiste : "Il n'y a pas de miracle", estime Drori. Face à la répression, les trafiquants prennent désormais plus de précautions et ont des méthodes plus "sophistiquées", constate-t-il.

Laga, qui travaille de plus en plus dans les autres pays d'Afrique centrale, est particulièrement inquiète pour les lions du Cameroun, chassés pour leur peau. "Ils sont menacés d'extinction", assure Drori.

"Le commerce a changé de structure, il est peut-être plus difficile de créer des contacts entre commerçants, maintenant plus méfiants. Mais les acteurs de ces trafics s'adaptent".

 

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25 novembre 2008 2 25 /11 /novembre /2008 11:07

 

 

Il est difficile d'imaginer la cruauté de la chasse à l'ours en russie l'hiver.

Un mère ours est violemment sortie de son hibernation, expulsée de son repaire, et tirée par un chasseur de trophées. Elle meurt bravement en protégeant son repaire, tandis qu'à l'intérieur ses bébés minuscules et sans défense sont laissés sans mère. Il est déchirant de penser aux orphelins laissés à mourir lentement de faim et de froid.

Tous les ans, la chasse de repaire laisse jusqu'à 4.000 animaux sans mère. Certains de ces animaux sans foyer finissent comme animaux de compagnie des villageois locaux, alors que d'autres sont pris pour amuser des touristes ou pour être mangés dans les restaurants. La plupart sont abandonnées et meurent.

Les ours bruns en Russie sont l'une des dernières populations saines restantes d'ours brun dans le monde -- Dites à la Russie de proscrire la chasse de repaire


PETITION

Merci pour les ours bruns de Russie

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24 novembre 2008 1 24 /11 /novembre /2008 11:09



La marmotte de l'île de Vancouver, que l'on trouve seulement en Colombie-Britannique, est l'un des mammifères les plus en danger dans le monde. Heureusement, grâce à la participation de Marmot Recovery Foundation, du gouvernement de Colombie-Britanique, de citoyens canadiens et d'autres, la population de marmottes est en constante augmentation. En 1998, il y avait moins de 100 marmottes, mais en 2007, la population en a totalisé 256 ! En raison de cette croissance soutenue, de plus en plus de marmottes peuvent être lâchées dans la nature, dans l'espoir que 400-600 spécimens puissent être libérés au cours de la prochaine décennie.

La province de Colombie-Britannique a la propriété et la responsabilité juridique de toutes les marmottes de l'île de Vancouver en vertu de la Loi sur les espèces sauvages de 1980. Je remercie le gouvernement de Colombie-Britannique pour son soutien et lui demande instamment de poursuivre son engagement à sauver cette espèce menacée, trésor des canadiens !




Merci pour les marmottes


Je tiens à exprimer ma gratitude envers le ministère de l'Environnement pour son engagement à sauver cette espèce unique. Le succès grandissant des marmottes montre que lorsque le secteur privé, le secteur public et les citoyens travaillent ensemble, beaucoup peut être fait pour préserver notre patrimoine naturel
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23 novembre 2008 7 23 /11 /novembre /2008 16:00

Juste ce petit mot pour remercier mes lecteurs pour leurs commentaires que j'ai dû malheureusemnent soumettre à modération pour éviter les désagréables surprises...

Merci encore de votre intérêt et de votre fidélité

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23 novembre 2008 7 23 /11 /novembre /2008 15:09

 

 

lupus laetus, association créée pour venir en aide au loup russe qui vit dans un environnement difficile. Du nom de Laetitia, jeune biologiste française qui a décidé de consacrer sa vie à sa passion pour les grands prédateurs, l'association se donne comme mission de promouvoir une Terre, amie de la nature avec pour th ème central: la protection du loup et de son écosystème en taïga russe. Pour en savoir plus sur cet animal mythique, partez avec Laetitia et découvrez son travail de recherche au Centre de Réhabilitation de Louveteaux Orphelins.

http://www.lupuslaetus.org/?ln=fr

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23 novembre 2008 7 23 /11 /novembre /2008 14:42

 

 

 

Des scientifiques japonais essaient de reconstituer un récif en plantant des coraux fixés sur support céramique, une première qui pourrait ouvrir la voie au sauvetage d'autres barrières dans le monde.

"Aucun récif corallien n'a été reconstitué artificiellement, mais nous pensons y arriver en une dizaine d'années", explique Mineo Okamoto, professeur associé à l'Université des sciences et technologies maritimes de Tokyo, qui dirige ce projet avec le ministère japonais de l'Environnement.

 

Les scientifiques travaillent sur les coraux du lagon de Sekisei, qui s'étend entre Ishigaki et Iriomote, deux îles de l'archipel d'Okinawa, situées à l'extrême sud du Japon en Mer de Chine orientale.

La population corallienne de cette barrière s'est réduite de 80% en vingt ans, à cause d'une hausse de la température de la mer et des dommages provoqués par les étoiles de mer, mangeuses de corail.

Pour reconstituer le récif, les scientifiques vont planter quelque 6.000 coraux âgés de 18 mois, fixés sur céramique. Les pieds de ces supports seront enfoncés dans les fonds marins au mois de décembre.

Cette expérience est la seule de ce type au monde. Pour reconstituer les coraux, les experts choisissent d'habitude de nettoyer les récifs ou de prélever des coraux sur des barrières existantes pour les transplanter ailleurs.

Si l'essai est concluant, l'équipe japonaise voudrait proposer son savoir-faire à l'étranger. Des préparatifs sont d'ores et déjà lancés en Indonésie pour y tenter aussi l'expérience.

"Les coraux sont des animaux marins mais fonctionnent comme des algues dans les mers du sud, réalisant la photosynthèse pour libérer de l'oxygène", explique M. Okamoto, qui souligne leur importance pour la protection de l'environnement.

 

http://www.lesechos.fr/depeches/science-environnement/afp_00092615-une-experience-inedite-au-japon-pour-reconstituer-des-recifs-coralliens.htm

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23 novembre 2008 7 23 /11 /novembre /2008 14:29

 

 

Qui a déjà vu un Bec-en-sabot, cette créature hors du commun, un oiseau massif à l'allure préhistorique et qu'on trouve seulement dans certaines contrées reculées d'Afrique?

Geneviève Renson, photographe naturaliste, l'a rencontré par hasard lors d'un reportage en République centrafricaine en 1978 et a depuis multiplié les expéditions au coeur des marais à papyrus, de la Zambie au Botswana, pour en savoir plus sur cette espèce en péril.

Témoignage
Son livre Sur les traces du roi des marais apporte un témoignage unique sur ce grand échassier (1,20 m) à la démarche altière et au bec impressionnant, en même temps qu'un passionnant récit de voyage.

"J'ai passé dix ans dans les marais et dix ans à la recherche d'une maison d'édition pour mon livre: s'il avait été question de grands singes ou d'éléphants, ça aurait marché tout de suite", déclare-t-elle. L'image un peu effrayante de cet étrange animal, également dénommé Roi-à-tête-de-baleine (Balaeniceps rex), a fait reculer plus d'un éditeur.

Envergure de 2,5m
Un "oiseau gros comme un chameau", racontaient les premiers voyageurs occidentaux à l'avoir rencontré dans les marais du sud Soudan au XIXe siècle. Toutes ailes déployées pour prendre son envol, la bête d'une envergure de 2,50 mètres, ressemble à un ptérodactyle, ce reptile volant du jurassique. "Moi je le trouve magnifique", déclare Geneviève Renson, avant de nuancer: "il est particulier, il est très attachant".

"La première fois que j'en ai vu un, j'ai tout de suite su que c'était quelque chose d'unique, une rencontre exceptionnelle", indique cette passionnée. Cette première rencontre lui a cependant valu un bon coup de bec qui lui a laissé au bras un énorme hématome: "des pêcheurs lui avaient ficelé le bec avec des morceaux de chambre à air. Je l'ai libéré", explique-t-elle. Mais à une autre occasion, en Zambie, le courant est passé entre la jeune femme et la bête.

Rencontre d'exception
L'oiseau qu'elle avait recueilli était mal en point, avec une plaie à l'aile et refusait de s'alimenter: "je lui ai ouvert le bec et lui ai enfoncé dans le gosier des poissons frais en y mêlant mes propres antibiotiques: il s'est laissé faire", explique-t-elle. "Je l'ai soigné, j'ai vu un gros ver blanc sortir de la plaie. Après, je suis resté en contact avec lui pendant près d'un mois. C'était séduisant, il venait vers moi quand j'avais du poisson", raconte-t-elle.

Pour s'approcher des nids de ce rarissime animal, l'exploratrice a du ruser, pataugeant dans les marais, courbée en deux "comme une petite vieille" avec son matériel photo sur le dos, progressant tant bien que mal sur des tapis de végétation flottante, la tête recouverte d'herbes pour ne pas se faire repérer, essayant de ne pas trop penser aux crocodiles ni aux serpents.

Menacé
"Je m'étais installée sur un îlot de 10 m2 né d'une termitière sur lequel je suis restée six mois", précise-t-elle. Ce qui lui a permis de rentrer dans l'intimité de ce drôle de bipède: "j'ai été la première à observer un accouplement, la première à assister à une éclosion et à en ramener des photos", se réjouit-elle. Mais ce roi des marais est désormais menacé par la destruction de son habitat naturel sous la pression démographique humaine et le réchauffement climatique.

La population globale du Bec-en-sabot a chuté de moitié depuis une quinzaine d'années à quelque 5.000 ou 8.000 individus aujourd'hui, selon les dernières estimations. Il figure sur la liste rouge des espèces menacées de l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN). (Sur les traces du roi des marais, Geneviève Renson, Editions Kubik, 34,90 euros).

 

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23 novembre 2008 7 23 /11 /novembre /2008 14:24
Ours des cavernes et ours brun ont divergé il y a 1,6 million d'années
 
 

 

L'analyse du génome d'une partie de la cellule de l'ours des cavernes, réalisée par des chercheurs français, montre que cette espèce qui s'est éteinte il y a 15.000 ans et l'ours brun ont divergé il y a quelque 1,6 million d'années.

Les scientifiques, qui publient lundi leurs résultats dans la revue américaine Proceedings of the National Academy of Sciences, ont fait cette découverte en étudiant un os d'ours des cavernes (Ursus spelaeus) mis au jour dans la grotte Chauvet-Pont d'Arc (Ardèche - sud de la France).

ADN
A partir de matière organique bien conservée, ils ont "purifié, amplifié et séquencé l'ADN de cet échantillon", et obtenu le génome complet, "composé de 17.000 nucléotides" (molécules biologiques) de la mitochondrie (partie cytoplasmique de la cellule).

La mitochondrie "contient un ADN (...) qui fournit une information précise concernant l'évolution des organismes", se comportant comme "une horloge moléculaire qui permet de définir à quelle époque deux espèces ont divergé", précise les deux organismes.

Ces travaux ont ainsi permis de "montrer que leur dernier ancêtre commun vivait il y a 1,6 million d'années". Cet ours primitif est également un ancêtre de l'ours polaire.

Découvertes
Jusqu'à présent, rappellent les auteurs de l'étude, les seuls génomes d'espèces éteintes décryptés étaient ceux du moa, un oiseau disparu il y a quelques centaines d'années, du mammouth laineux et du mastodonte, animaux vivant au pléistocène (1,6 million d'années).

La grotte Chauvet-Pont d'Arc, connue pour ses peintures pariétales, contient des milliers de restes d'ours des cavernes, dont la datation au carbone-14 a permis de découvrir que ces animaux y étaient présents il y a 32.000 ans. L'ours des cavernes a vécu en Europe et au Proche-Orient de 300.000 ans à il y a 15.000 ans, époque où il a disparu.

La méthode utilisée, affirment les scientifiques, "démontre qu'il est possible d'obtenir les génomes de la mitochondrie d'animaux dont les restes sont trouvés dans le milieu souterrain, un environnement qui contient des ossements d'une grande variété d'espèces disparues". Jusqu'à présent, de telles études ne pouvaient être faites qu'à partir de la chair d'animaux figés dans le pergélisol de régions comme la Sibérie.

 

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22 novembre 2008 6 22 /11 /novembre /2008 17:42

 

 

 

 

 La Strasbourgeoise Laetitia Becker, 25 ans, étudie la meilleure façon de rendre des louveteaux à la vie sauvage, dans la forêt russe. Avec sa passion comme unique confort.

 

Ici, il y a l’eau courante, le téléphone, le chauffage central, plein de magasins, de macadam et de voisins et, confort suprême, il n’y a plus aucun loup dans la forêt de la Robertsau. Pourtant, Laetitia Becker compte déjà les jours : « Dans onze jours, je rentre… »

Réhabilitation

Née à Strasbourg il y a 25 ans, elle est heureuse, évidemment, de passer deux semaines en Alsace pour revoir famille et amis. Mais ce qui lui manque, déjà, c’est un hameau de cinq maisons à 50 kilomètres du village le plus proche, un endroit sans eau courante, téléphone, chauffage central, magasins, macadam, avec une poignée de voisins perdus dans l’immensité, du — 38 en hiver et des loups, surtout, à qui elle sert de maman et de chef de meute. À qui elle apprend à redevenir sauvage, ce qui, d’ailleurs, ne veut pas dire méchant : « Le loup n’est pas plus méchant que n’importe quel autre animal. Ce sont les trois religions monothéistes, qui s’adressaient à des bergers, qui l’ont présenté comme maléfique… » Laetitia a des yeux bleus très purs, et des sourires brusques et emballants. Une fragilité apparente, et la force de ceux qui font ce qu’ils veulent vraiment. Quand elle parle des loups, ici, trop loin d’eux, elle les réhabilite dans l’acception morale du terme.

Mais quand elle est là-bas, chez elle, au milieu d’eux, à 450 kilomètres à l’ouest de Moscou, elle s’occupe de leur réhabilitation au sens scientifique du mot : rendre à la nature des louveteaux issus de zoos ou attrapés par des chasseurs.

Car en Russie, on offre encore une prime à qui attrape une de ces bêtes considérées comme « nuisibles ». 1 500 roubles l’animal, soit une quarantaine d’euros, soit un mois de salaire.

Laetitia travaille ainsi à sa thèse de doctorat. Elle bénéficie pour ça d’une bourse de 500 € mensuels, qui suffisent à sa vie spartiate. « Je suis venue pour la première fois à la station biologique de Chisty Les, où je travaille, à l’été 2004, pour un stage. Et dès le premier jour, je suis tombée amoureuse de cette forêt. Immense, dense, où l’on peut encore se perdre… Le côté sauvage… Une vie simple me suffit et me plaît : on est plus conscient de la valeur de chaque instant. Je préfère vivre ma passion tous les jours que de courir derrière le dernier téléphone portable. Mes parents me disent : pourquoi ne pas fabriquer une pompe ? Mais tant que je peux porter mes huit litres d’eau dans chaque bras… Et je trouve plus agréable de faire du feu que de tourner un bouton ! »

Et quand la thèse sera terminée, en avril 2011 ? « Je resterai sans doute là-bas. Ou j’irai encore plus à l’Est. Où c’est plus froid, plus sauvage… »

A lire aussi : Elle vit avec des loups en Russie (Vidéo)

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22 novembre 2008 6 22 /11 /novembre /2008 07:00

 



La guerre a ravagé le Congo durant des années, mais grâce à Dieu les gorilles de la Réserve de Tanya ont été épargnés pour la plupart. Toutefois, cette semaine (20 novembre 2009) les forces rebelles ont pénétré et pris le contrôle du parc national dédié à la préservation de l'un des quelques habitats surveillés de gorilles de la planète. Les Rangers du parc ont fui pour sauver leur vie et le sort de la protection des gorilles reste dans les limbes du soir !

Cette pétition a un objectif simple. Nous demandons que le gouvernement des États-Unis utilise ses ressources du Département d'État pour prendre contact avec le chef rebelle, M. Mukunda, et de lui délivrer ce message: "Tenez-vous loin des gorilles ! SI VOUS nuisez à la protection des gorilles, LA HONTE INTERNATIONALE ET LE DESACCORD DES GOUVERNEMENTS ETRANGERS SERONT inévitables. Retirez-vous de la réserve de gorilles TANYA immédiatement ! Faites la chose morale et décente : ne nuisez pas à ces créatures désemparées et magnifiques - Le monde entier vous regarde. "

PETITION

TRADUCTION DE LA LETTRE :

Monsieur le Secrétaire Rice,
Les signataires de la présente pétition vous demandent de bien vouloir diriger les ressources du Département d'État pour prendre contact avec le chef des rebelles au Congo et de plaider pour sa miséricorde envers la population des gorilles dans le Parc national de Tanya. Il s'agit d'une question extrêmement urgente qui nécessite votre attention immédiate.
Nous vous remercions tous sincèrement de prendre des mesures et priez pour que les gorilles aient la vie sauve.

Signé,
Toby Dittrich, Vancouver Washington
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