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9 juillet 2008 3 09 /07 /juillet /2008 01:26



4,5 millions de km² sont parcourus annuellement par les incendies dans le monde


Une étude menée par des chercheurs financés par l’UE et publiée par la revue Geophysical Research Letters indique que chaque année, entre 3,5 et 4,5 millions de kilomètres carrés de végétation, soit la superficie de l’UE, est réduite en cendres par des incendies dans le monde. Grâce aux données collectées par l’instrument VEGETATION, un outil d’imagerie à bord du satellite SPOT (système d’observation de la Terre), les chercheurs ont développé une carte sur l’activité mondiale des incendies entre 2000 et 2007. Le capteur de VEGETATION enregistre l’énergie solaire reflétée par la surface de la Terre. Il offre une couverture mondiale presque quotidiennement.

La quantité d’énergie reflétée est altérée lorsque la végétation brûle ; ainsi, les chercheurs ont pu identifier les « cicatrices » laissées par les incendies. Les superordinateurs situés en Belgique ont permis de traiter de grandes quantités de données fournies par le capteur. La majorité des incendies ont eu lieu en Afrique. De grandes superficies de savane disparaissent chaque année. Le système est durable car la végétation se régénère très rapidement pendant la saison humide. Du point de vue du carbone, l’équilibre provient de la régénération de la végétation, qui fait fonction de puits de carbone. Les feux de forêts sont plus importants étant donné que la zone affectée devient une source de carbone pour de nombreuses années.

Les chercheurs, notamment dans les domaines du changement climatique, de la surveillance de la végétation, de la chimie atmosphérique et du stockage et des flux de carbone, fondent une partie de leurs travaux sur ces analyses. Toutefois, jusqu’à présent, ces données n’allaient que jusqu’à l’année 2000. Les auteurs de l'étude admettent que l’observation de cette période restreinte ne permet pas de déterminer s’il existe une tendance croissante du déclenchement des incendies ; ils affirment par ailleurs qu'ils ont remarqué de grandes différences d’année en année. Les feux de forêt de l’été dernier en Grèce et au Portugal il y a deux ans nous rappellent qu’il faut comprendre l’impact des incendies sur l’environnement et le climat afin de gérer la végétation de la planète de façon encore plus efficace.
Probablement 95 % des incendies de végétation sont d’origine anthropique ; la combustion de chaume, la déforestation, la chasse et les incendies criminels sont toutes des causes d’incendies à travers le monde. Le feu est et demeurera toujours un danger spécifique à la planète, d’autant plus dans le contexte actuel de réchauffement climatique .

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7 juillet 2008 1 07 /07 /juillet /2008 19:39


Je diffuse :

Réchauffement climatique : L'eau salée de la mer Noire menace la faune du delta Kizilirmak !



La récente intrusion de l'eau salée de la mer Noire dans les zones humides du delta Kizilirmak (Rivière rouge en turc, ndlr) en Turquie a augmenté le niveau du sel dans les lacs de cette région, avec un effet négatif sur les animaux, a rapporté lundi le Today's Zaman.

Murrat Bulat, président de la Fédération de la protection de la nature de la mer Noire, cité par le journal, a déclaré que la hausse du niveau du sel des lacs dans le delta de la mer Noire, l'une des plus importantes zones humides en Turquie, a été provoquée par les canaux d'eau construits pour protéger les terres contre les inondations pendant la saison des pluies.


A moins de prendre les mesures nécessaires, le niveau de sel élevé portera atteinte aux animaux dans la région, a mis en garde M. Bulut. "La mer Noire commence lentement à englober le delta. La salinisation des lacs reliés à la mer par des canaux d'eau, est en progression. Il y a une grave détérioration de la flore et de la faune", a-t-il expliqué.

Il a appelé à construire des digues dans les endroits où se rencontrent la mer et le delta et à prendre d'autres mesures pour empêcher l'eau salée d'entrer dans les lacs.

Le delta de Kizilirmak, d'une superficie de 56.000 hectares, est l'une des plus importantes zones humides de la Turquie.

Il abrite plus de 140 espèces d'animaux et plus de 100.000 oiseaux en hiver, et a une importante ornithologique internationale.

Xinhua

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6 juillet 2008 7 06 /07 /juillet /2008 22:18
Un tiers des espèces de plantes et d'animaux sont menacées en Belgique

 

Un quart des oiseaux nicheurs, 36 pc des mammifères et 71 pc des reptiles sont menacés en Belgique, révèlent des chiffres du SPF Economie. C'est la première fois que l'évaluation de l'état des espèces végétales est estimée au niveau du pays dans son ensemble.

 

 

Ces résultats ressortent d'une compilation des listes rouges régionales par la Direction générale statistique et information économique. Ce sont les reptiles qui sont les plus menacés d'extinction, avec 71 pc des espèces menacées en Belgique: 50 pc en Flandre, 71 pc en Wallonie et 100 pc à Bruxelles. Parmi les autres espèces, 25 pc des oiseaux nicheurs, 23 pc des poissons, 36 pc des mammifères et 60 pc des amphibiens belges (100 pc à Bruxelles) sont menacés d'extinction. Les libellules et papillons diurnes sont également menacés: 48 pc des 64 espèces connues de libellules et 60 pc des papillons. C'est surtout à Bruxelles que le risque d'extinction de certaines espèces est le plus grand (51 pc des mammifères soit 18 mammifères sur les 34 espèces connues). En ce qui concerne les plantes, 29 pc des 1.460 espèces de plantes supérieures recensées sont menacées. (CYA)

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6 juillet 2008 7 06 /07 /juillet /2008 20:19
"La pollution sonore est la menace la plus grave qui pèse sur le milieu marin." C'est un cri d'alarme que lancent les bioacousticiens présents à la conférence mondiale qui réunit, depuis le 29 juin et jusqu'au 4 juillet à Paris, plus de 4 500 spécialistes de l'acoustique.

Signe de l'importance que ceux-ci attachent à la question, ces rencontres, qui traitent de tous les aspects - scientifiques, médicaux ou industriels - de la discipline, ont été ouvertes par une communication sur l'impact des sources sonores sur les mammifères marins.

Le risque d'extinction d'espèces est sous-estimé
Certaines espèces ont un risque d'extinction nettement supérieur à ce qui était admis jusqu'alors, affirme une étude américaine publiée, jeudi 3 juillet, dans la revue Nature. Alors que les méthodes actuelles d'estimation de ce danger prennent généralement en compte le nombre de survivants de l'espèce et leurs conditions de vie, les auteurs de cette étude affirment que le risque d'extinction d'une population naturelle dépend de facteurs aléatoires affectant chaque individu. Ils expliquent que les modèles stochastiques qu'ils ont développés rendent correctement compte de la variabilité démographique d'une espèce. "Des populations assez importantes considérées auparavant comme relativement à l'abri pourraient être en péril", en concluent-ils.

L'océan n'a jamais été le "monde du silence" exalté par le commandant Cousteau. Depuis toujours, il est empli de bruits, produits par la nature (mouvements sismiques, vagues, pluie...) ou la faune marine (poissons, crustacés...) . Mais, "depuis les cent dernières années, le développement des activités humaines en mer a introduit des sources sonores artificielles, générant un niveau de bruit jamais atteint au cours des millénaires", décrit Michel André, directeur de l'Ecole polytechnique de Catalogne et spécialiste de la bioacoustique animale.
Cette pollution d'origine anthropique est multiple : transports maritimes (plus de 50 000 bateaux de gros tonnage croisent sur le seul territoire maritime européen), recherche de gisements pétroliers et gaziers (parfois effectuée à l'aide de canons à air comprimé), manoeuvres militaires (avec utilisation d'explosifs ou de sonars), éoliennes offshore, avions supersoniques. .. Autant de décibels qui peuvent avoir des effets désastreux sur les mammifères marins, en particulier les cétacés (baleines, dauphins, cachalots, orques, marsouins et autres narvals), mais aussi les pinnipèdes (morses, phoques, otaries).

Ces animaux utilisent en effet des systèmes acoustiques très subtils pour se repérer dans leur environnement, par écholocalisation, et communiquer entre eux. Dauphins et cachalots, par exemple, sont dotés de sonars dont l'écho les renseigne sur la distance et la nature des reliefs ou des organismes qui les entourent. Comme tous les odontocètes (cétacés à dents), ils produisent des sons par la projection d'air à travers des conduits aériens nasaux et des lèvres localisées dans la partie supérieure de la tête. Pour l'audition, ils perçoivent les vibrations au travers de leurs mandibules qui dirigent l'information vers leur oreille interne.

Le mode de communication de la baleine, lui, est encore très mal connu. Ce géant est capable de "parler" avec ses congénères à des milliers de kilomètres de distance, à l'aide de signaux sonores à très basse fréquence qui colportent sans doute, à travers les océans, des informations sur les bancs de poissons ou de planctons. Plus de 80 espèces de cétacés sont recensées et chacune possède ses spécificités.

Les bruits générés par l'homme peuvent, s'ils sont intenses, provoquer des lésions dans les organes de réception auditive des mammifères ou affecter plus largement leurs systèmes sensoriels, avec des conséquences parfois mortelles. C'est ainsi que sont interprétés certains échouages en masse de baleines. Pour cette raison, aux Etats-Unis, l'usage de sonars militaires est interdit au large de la Californie. George Bush ayant décidé de faire une exception pour la marine, la Cour suprême américaine a été saisie.

Sans être forcément léthale, la pollution sonore anthropique "créé un "smog acoustique" qui masque les signaux émis et captés par les mammifères marins, perturbant ainsi les mécanismes qui leur sont nécessaires pour communiquer, se nourrir et se reproduire", explique Michel André.

Sans doute les cétacés, apparus voilà plusieurs dizaines de millions d'années, sont-ils doués d'une bonne capacité d'adaptation à des milieux changeants. Mais, craignent les scientifiques, le bruit de fond généré par les activités humaines est encore trop récent pour qu'ils aient pu développer des processus adaptatifs. D'autant que dans le même temps, ces prédateurs, situés au sommet de la chaîne alimentaire marine, doivent faire face à la dégradation de la qualité des eaux ainsi qu'au réchauffement climatique qui affecte les ressources en plancton.

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6 juillet 2008 7 06 /07 /juillet /2008 19:41

Les plantes migrent en altitude en réponse au réchauffement climatique
Vallée de Neuvache, Valmeinier - France


La revue Science publiera dans son prochain numéro les résultats d’une étude sur la migration des plantes avec le réchauffement climatique menée par des chercheurs d’AgroParisTech - l’Institut des sciences et industries du vivant et de l’environnement -, de l’Université Catholique du Chili et du CNRS. Premier auteur, Jonathan Lenoir est étudiant en thèse à AgroParisTech, au centre de Nancy(1), dans le Laboratoire d’Etude des Ressources Forêt-Bois associant l’INRA et AgroParisTech.

Dans le contexte actuel de changement climatique, des phénomènes d’extinction et de colonisation avaient déjà été observés pour les plantes chez quelques espèces en marge de leur distribution en milieu boréal ou de haute montagne. Les changements de distribution, peu étudiés chez les plantes de milieux tempérés, ont été analysés à partir des vastes bases de données du laboratoire d’accueil et du CNRS regroupant des milliers d’inventaires floristiques réalisés dans toutes les forêts des montagnes françaises depuis le début du 20e siècle. Ces bases de données ont permis de comparer la répartition altitudinale de chacune des 171 espèces étudiées entre les périodes 1905-1985 et 1986-2005 pour une gamme d’altitude de 0 à 2600 m dans les milieux tempérés et méditerranéens représentatifs des montagnes ouest-Européennes. La limite de 1985 entre les deux périodes a été choisie car la température moyenne annuelle a augmenté de près de 1°C dans la zone étudiée autour de cette date pivot.

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6 juillet 2008 7 06 /07 /juillet /2008 19:39

De plus en plus de personnes prennent conscience de la pénurie alimentaire. C'est pourquoi plusieurs pays reconnaissent l'importance d'un bon système d'irrigation dans ce domaine. Une équipe de chercheurs financés par l'UE a tenté de déterminer la manière dont la technologie de l'imagerie satellite peut être utilisée pour une meilleure utilisation de l'eau ainsi qu'une augmentation de la production agricole.

Des chercheurs originaires d'Europe, d'Afrique du Nord et d'Amérique du Nord observent actuellement deux régions agricoles à l'aide du satellite FORMOSAT-2 : la région de la plaine du Tensift près de Marrakech (Maroc) et la vallée de Yaqui dans l'état mexicain de Sonora. Ainsi, ils ont pu identifier une série de bénéfices qui pourraient profiter aux agriculteurs locaux. Sur ces zones agricoles, des cultures irriguées de céréales, d'arbres fruitiers et de légumes sont pratiquées sur plusieurs milliers de kilomètres carrés.

Grâce à sa position spatiale stratégique, le satellite FORMOSAT-2 offre une perspective unique sur les pratiques agricoles, qui pourrait engendrer des économies considérables en matière de consommation d'eau.

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6 juillet 2008 7 06 /07 /juillet /2008 19:37
Etat du climat mondial en 2007 : une année encore bien trop chaude

Champ d’anomalies de la température à la surface du globe en 2007, en
degré Celsius, par rapport à la période de référence 1961-1990. Chaque
croix désigne, pour le pixel correspondant, l’anomalie positive la plus
marquée des 158 dernières années

crédit : Centre Hadley du Service météorologique national et Section de recherche
sur le climat de l’Université d’East Anglia (Royaume uni)

D’après les analyses effectuées par les grands centres climatologiques, 2007 fait partie des dix années les plus chaudes jamais enregistrées.

Les analyses du Centre Hadley du Service météorologique du Royaume-Uni ont révélé que la température moyenne à la surface du globe en 2007 présentait une anomalie positive de 0,40 °C par rapport à la normale calculée pour la période 1961-1990 (14 °C). Par conséquent, 2007 se place au septième rang des années les plus chaudes depuis le début des relevés.
D’après le Centre national de données climatologiques de l’Administration américaine pour les océans et l’atmosphère (NOAA), l’anomalie positive est de 0,55 °C par rapport à la normale calculée pour tout le XXe siècle (1901-2000), qui est de 13,9 °C, ce qui place 2007 au cinquième rang des années les plus chaudes.

Janvier 2007 a été le mois de janvier le plus chaud jamais enregistré depuis que des relevés ont commencé à être établis à l’échelle du globe.

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6 juillet 2008 7 06 /07 /juillet /2008 19:29

La dégradation des terres s’intensifie dans plusieurs parties du monde alors qu’environ 1,5 milliard de personnes, soit le quart de la population mondiale, dépendent directement de terres qui se dégradent, selon une étude rendue publique par la FAO et qui s’appuie sur des données prélevées sur une période de 20 ans.

Définie comme un déclin à long terme de la fonction et de la productivité d’un écosystème, la dégradation des terres augmente en sévérité et extension dans plusieurs régions dans les proportions suivantes : plus de 20% pour toutes les terres cultivées, 30% pour les forêts et 10% pour les pâturages.

Les conséquences de cette dégradation comprennent notamment la diminution de la productivité agricole, la migration, l’insécurité alimentaire, les dégâts aux ressources et aux écosystèmes de base et la perte de la biodiversité du fait des changements subis par l’habitat aussi bien au niveau des espèces qu’au niveau génétique.

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6 juillet 2008 7 06 /07 /juillet /2008 19:26
4,5 millions de km² sont parcourus annuellement par les incendies dans le monde

Une étude menée par des chercheurs financés par l’UE et publiée par la revue Geophysical Research Letters indique que chaque année, entre 3,5 et 4,5 millions de kilomètres carrés de végétation, soit la superficie de l’UE, est réduite en cendres par des incendies dans le monde. Grâce aux données collectées par l’instrument VEGETATION, un outil d’imagerie à bord du satellite SPOT (système d’observation de la Terre), les chercheurs ont développé une carte sur l’activité mondiale des incendies entre 2000 et 2007. Le capteur de VEGETATION enregistre l’énergie solaire reflétée par la surface de la Terre. Il offre une couverture mondiale presque quotidiennement.

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26 juin 2008 4 26 /06 /juin /2008 16:28

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En un mois seulement, une région forestière équivalente à la taille de New York a été rasée dans la forêt tropicale amazonienne - un développement « alarmant » et « pire que prévu » d’après une déclaration du gouvernement Brésilien.

Au moins 1 123 km2 ont été déboisés au Brésil en avril 2008. C’est huit fois plus que les 145 km2 détruits le mois précédent, d’après les données publiées début juin par l’INPE, Institut National Brésilien de Recherche qui surveille l’Amazonie. Ces résultats laissent entendre que le taux de déforestation s’est accéléré d’après l’INPE.

Entre août 2006 et août 2007, 4 974 km2 avaient été détruits. D’août 2007 à avril 2008, ce taux a grimpé à 5 850 km2. « Cette situation est très alarmante. Avec les chiffres que nous avons, nous pouvons être sûrs qu’il y a une nette augmentation de la déforestation de l’Amazonie, » a déclaré le directeur de l’INPE, Gilberto Camara. « Le processus de déforestation est plus intense que nous ne l’avions imaginé »

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