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pour donner aux hommes
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18 juillet 2008 5 18 /07 /juillet /2008 23:51

Des enquêtes ouvertes à la suite d'une récente interpellation à Bertoua d'un
trafiquant de peaux de fauves, l'indiquent.
Les enquêtes sur le trafic international des peaux de lion actuellement en cours au Cameroun révèlent qu'il faut davantage d'efforts pour lutter et réduire le pillage de peaux de lion et autres panthères. Prenant pour
prétexte l'arrestation, le 10 juillet 2008 d'un trafiquant en pleine commercialisation de peaux dérivées d'un jeune lion et des autres espèces protégées notamment la panthère, à Bertoua, la capitale de la province de
l'Est, The Last Great Ape (Laga), une organisation non gouvernementale oeuvrant dans le secteur de la protection de la nature et de l'environnement, tire la sonnette d'alarme.
 
Associé de cette opération de traque au même titre que les forces de maintien de l'ordre, des instances judiciaires, par la délégation provinciale des Forêts et de la Faune de l'Est, Laga se détermine comme un "ardent défenseur de la lutte contre le commerce des espèces et dérivés des espèces protégées". A écouter les officiels camerounais, la population des lions est en déclin actuellement dans le parc national de Waza au Nord du
Cameroun. C'est dans cette optique que l'un des responsables dudit parc,

Linus Ambassa s'est écrié que, "si rien n'est fait, les lions vont disparaître de Waza".
Dans le même ordre d'idées, Cameroon Tribune du 26 mai 2008 citant un autre responsable du parc de Waza, relevait que "le lion considéré comme le roi de la forêt, n'est plus en sécurité dans le parc de Waza". La principale cause de cette menace de l'extinction du lion au Cameroun, est le commerce illégal des espèces fauniques.

En Juin 2006, une opération menée avec le soutien solide de Born Free Foundation (Bff) a abouti à la découverte d'un réseau de pillage des produits dérivés du lion mené par un employé de longue durée dans une "société safari". Il a été interpellé à Garoua.

Dans le même ordre d'idées, les autorités camerounaises font savoir que certaines "sociétés safaris" sont utilisées comme moyens de blanchiment des produits fauniques.
Le blanchiment des produits fauniques est une activité illégale qui menace les espèces fauniques protégées y compris les lions. Le blanchiment est le fait de faire passer dans les structures commerciales légales ou par
d'autres moyens légaux des produits qui sont obtenus illégalement afin de donner l'impression que ces produits sont acquis légalement. Dans l'optique d'intensifier la lutte contre cette activité illégale, "certains opérateurs
économiques sans scrupules", le Minfof, Elvis Ngolle Ngolle, a lancé "un appel à la vigilance de tous pour combattre avec la même énergie cette nouvelle forme d'illégalité et les trafiquants qui se cachent derrière le
statut d'opérateur économique régulier du Minfof".

Le commerce illégal des dérivées des espèces fauniques intégralement protégées comme l'ivoire d'éléphant vient en 3e position derrière le commerce illicite international de la drogue et d'armes. Par exemple, en
octobre 2007, le tribunal de première instance de Maroua a condamné cinq trafiquants internationaux de peaux de lion. Trois de ces trafiquants ont été condamnés à un an et huit mois de prison tandis que les deux autres ont
écopé de mois d'emprisonnement. Ils se livraient au commerce de peaux de lion et au transport de la même marchandise à destination du marché noir entre le Cameroun et le Nigeria.

La "croisade" lancée par le Minfof avec le concours des organismes internationaux fait partie du "programme national de mise en application effective de la loi faunique au Cameroun". Il se caractérise spécifiquement
par la traduction des contrevenants en justice. Le programme a été lancé en 2003 par le gouvernement camerounais avec l'assistance technique de The Last Great Ape Organisation (Laga) et sa mise en oeuvre est assurée par le ministère des Forêts et de la Faune en collaboration avec la délégation générale à la Sûreté nationale (Dgsn), le secrétariat d'Etat à la Défense (Sed) et le ministère de la Justice, Garde des Sceaux (Minjustice).

SOURCE

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18 juillet 2008 5 18 /07 /juillet /2008 23:28



Environ un tiers des principales espèces de corail formant les récifs
coralliens pourraient disparaître indique une équipe internationale de
chercheurs.

Corail "champignon"

Kent Carpenter de l'Université Old Dominion à Norfolk, et ses collègues, ont étudié dans le détail plus de 700 espèces de ces coraux et les ont classées en fonction des critères de l'Union Internationale pour la Conservation de la Nature pour la protection des espèces. Cette classification comporte huit catégories allant de "Sans problème particulier" à "Éteinte", sans oublier celle des espèces dont on ne peut juger de la situation par manque d'informations.

La plupart des coraux des récifs n'étant pas suivis depuis assez longtemps pour que l'on puisse directement en déduire leur évolution, les auteurs ont analysé diverses caractéristiques propres à la vie de chacune de leurs
espèces et parallèlement corroboré les estimations sur le déclin des aires de récifs coralliens. Il ressort de leur travail que sur 704 espèces, 231 sont "en danger critique d'extinction", "en danger" ou "vulnérables". Le
risque d'extinction a aussi augmenté ces dix dernières années. Sans l'épisode de blanchiment massif de 1998, il n'y aurait eu que 13 espèces dans ces trois catégories.

Les principales causes de cette évolution sont selon les auteurs le réchauffement climatique et les perturbations locales dues aux activités humaines. "Nos résultats, écrivent-ils, soulignent la détresse des récifs coralliens et l'urgent besoin de mesures de protection".

Source: Science, AAAS & EurekAlert
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18 juillet 2008 5 18 /07 /juillet /2008 06:29





L'Ontario montre la voie à suivre en annonçant la protection de la moitié de sa forêt boréale encore intacte et en mettant du même coup le cinquième de son territoire à l'abri de l'exploitation, selon des groupes écologistes.



Le Québec devra suivre l'exemple ontarien, estime Marie-Ève Marchand, de la Société pour la nature et les parcs. «On félicite le premier ministre de l'Ontario, Dalton McGuinty, dit Mme Marchand. Au Québec, on est à une période charnière avec l'atteinte prochaine de 8% d'aires protégées*. Le gouvernement est en train de se demander où aller dans l'avenir. On peut décider d'en rester là, ou encore de devenir nous aussi un leader.»

Plus tôt cette année, Québec a annoncé l'ajout de 18 220km2 d'aires protégées, pour porter le total à 6% de son territoire.

Mais l'annonce d'hier par le premier ministre ontarien est d'un ordre de grandeur 10 fois supérieur. En effet, 225 000 km2 seront mis à l'abri de l'exploitation minière et forestière, une superficie équivalente à celle du Royaume-Uni.

Cela porterait à près plus de 25% le total des aires protégées en Ontario, quatre fois plus que le Québec.

L'Ontario va protéger la moitié du territoire situé au nord du 51e parallèle, ce qui procurera un abri à quelque 200 espèces menacées, dont certaines, comme le caribou forestier, sont aussi en danger au Québec.

En même temps, l'Ontario annonce une réforme majeure de sa loi minière, une réforme que les écologistes estiment aussi nécessaire au Québec.

«C'est une annonce formidable, selon Chris Beck, de l'Initiative boréale canadienne. C'est à une échelle qu'on n'avait encore jamais vue au Canada. Le gouvernement du Québec devrait regarder cela de près.»

L'annonce politique de M. McGuinty n'a pas soulevé de controverse dans le milieu forestier, pour la bonne raison que des sociétés comme Domtar et Tembec, très présentes en Ontario, ont approuvé en 2003 l'objectif de protéger 50% de la forêt boréale encore intacte, dans le cadre de la Convention pour la protection de la forêt boréale.

Pour l'industrie minière ontarienne, ce sera l'occasion de mettre de côté les conflits qui ont surgi ces dernières années avec les écologistes et les communautés autochtones, explique Gillian McEachern, de l'organisation Forest Ethics, en Ontario. «Cette approche crée certainement plus de certitude pour l'industrie», dit-elle.

«Il y a du travail de fond qui se fait depuis 10 ans pour arriver à cette annonce, dit Mme Marchand. Protéger 50%, c'est un objectif scientifique crédible, qui tient compte des changements climatiques, de la crise de la biodiversité et aussi du rôle que le Canada doit jouer à l'échelle de la planète.»

Le ministère québécois du Développement durable, de l'Environnement et des Parcs n'a pas voulu commenter le sujet hier.


Source : cyberpresse.ca


*
Qu’est-ce qu’une aire protégée ?

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18 juillet 2008 5 18 /07 /juillet /2008 06:26


Le Canada a décidé de protéger sa forêt boréale... Impliqué dans la lutte contre les changements climatiques, le gouvernement a décidé d'interdire les activités minières et forestières sur cette vaste région du nord du pays. La forêt boréale (aussi appelée taïga) rallie l'est et l'ouest du pays, et forme une immense ceinture verte de 1.000 km de largeur.

L'exploitation des matières premières canadiennes, dont la demande ne cesse de croître, les incendies, mais aussi la prolifération d'insectes agressifs, menacent cet écosystème. Le gouverneur de la province de l'Ontario, sur le territoire duquel s'étend une partie de cette forêt, vient d'annoncer un certain nombre de mesures de protection. 225.00 km2 de forêt bénéficieront d'une « protection permanente ». Cela consistera en une interdiction de l'activité industrielle, et en une limitation de l'activité humaine (écotourisme, chasse, pêche).

Les canadiens soulignent l'importance de protéger cette forêt : « une des dernières régions véritablement sauvages de la planète ». Elle abrite plus de 200 espèces vulnérables d'animaux... mais c'est aussi et surtout un des poumons de notre planète, qui absorbe chaque année 12,5 millions de tonnes de CO2. Cette donnée est d'autant plus significative que les canadiens seraient responsables à eux seuls de 2% des émissions de gaz à effet de serre de la planète.


Source : ushuaia-terre.tf1.fr






Qu’est-ce que la forêt boréale ?

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18 juillet 2008 5 18 /07 /juillet /2008 06:24

Depuis une quinzaine d’années, les plantations européennes de platanes sont décimées sous l’action d’un champignon appelé le Ceratocystis platani. Introduit accidentellement en 1944 par les troupes américaines lors de leur débarquement en Provence, il est à l’origine de la maladie dite du chancre coloré. Celle-ci empoisonne l’arbre à petit feu, s’étendant à l’intégralité du végétal. Pour lutter contre l’attaque du champignon, le platane bloque ses vaisseaux conducteurs de sève. Mais, outre le fait qu’il ne stoppe pas la propagation du Ceratocystis platani, ce réflexe de défense contribue également à le mener à sa perte. A l’heure actuelle, ce fléau a gagné de nombreux pays tels que l’Italie, la Suisse, le Sud de la Grèce ainsi que le Sud et le Sud-Ouest de la France.

D’après l’Institut National de la Recherche Agronomique (INRA), un arbre peut résister à la maladie pendant 4 à 6 ans, ce chiffre variant selon l’endroit de la contamination. Mais, en l’absence de remède, il est de toute façon promis à une mort certaine. Les signes extérieurs de dégénérescence du platane touché consistent en un feuillage anormalement clairsemé et en de longues traînées colorées apparaissant sur le tronc de l’arbre, lesquelles oscillent entre des teintes violet / noir et rouge / violacée.


Aspect caractéristique d'un chancre coloré sur un tronc de platane : veines d'un bleu violet mêlé d'orange, quelquefois interrompues en pointillés.



S’il est létal, ce champignon est également extrêmement contagieux. Ainsi, un simple contact avec des racines, de l’eau, un matériel d’élagage ou des engins de terrassement infectés peut suffire à le véhiculer d’un arbre à un autre. En France, 50 000 platanes ont déjà connu ce sort, suscitant la mise en œuvre par le ministère de l’agriculture et de la pêche en 2007 d’une coordination nationale de lutte contre le chancre coloré.

Cherchant un moyen d’enrayer la progression de la maladie, l’équipe scientifique de l’INRA s’est tournée vers l’Amérique, pays dont est originaire le champignon, dans l’espoir de trouver des espèces végétales résistantes. Bien qu’ayant vu juste, les experts ont néanmoins dû résoudre un problème d’acclimatation, les espèces américaines s’avérant inadaptées aux conditions climatiques des régions françaises. Pour les rendre viables, ils les ont croisés avec une espèce orientale, dotée de caractéristiques similaires à celles de notre platane commun (rusticité, rapidité de croissance).

Afin d’obtenir la combinaison la plus efficace, 10 000 plants furent cultivés et testés à titre expérimental. Pour ce faire, les experts de l’Institut mirent au point un test standard d’inoculation du Ceratocystis platani permettant « d’estimer rapidement la sensibilité de chaque plant ». Grâce à lui, 2 000 arbres hybrides subirent 3 inoculations successives, la dernière se situant au niveau des racines. En 2001, les premières conclusions fixaient à 20 le nombre de plants déclarés prometteurs.

Prolongées dans la région Provence-Alpes-Côtes d’Azur, les études réalisées permirent d’arrêter en 2004 une seule variété de platane résistante, connue aujourd’hui sous le nom de Platanor Vallis clausa. Elle est protégée par un certificat d’obtention végétale (COV), lequel confère au sélectionneur un droit exclusif sur l’exploitation commerciale à l’échelon européen de la variété créée.

Dépassant les espérances de ces créateurs, la Platanor Vallis clausa a révélé par ailleurs une bonne résistance à d’autres maladies issues de champignons, telles que l’anthracnose, et à un degré moindre contre l’oïdium. Elle serait de même moins vulnérable face au tigre, qui contrairement à ce que son nom suggère est un insecte.

Cette robustesse ne se fait pas au détriment de la qualité puisque, selon l’INRA, le bois fourni par la Platanor Vallis clausa égalerait celui de l’hêtre. Pour l’heure, les premiers spécimens destinés à la commercialisation sont exploités en région lyonnaise.
Pourtant, si l’opération semble une réussite à tous points de vue, le travail de sélection se poursuit pour éviter d’enfermer les futures plantations de platanes dans une homogénéité génétique jugée « dangereuse ».


Cécile Cassier
Photo © INRA / A. Vigouroux

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16 juillet 2008 3 16 /07 /juillet /2008 23:31

Je transmet :



Depuis que l'administration Bush a retiré aux loups gris leur protection d'espèces en voie de disparition en mars, plus de 100 d'entre eux ont été tués en dehors des parcs nationaux grand Teton et du Yellowstone, et des centaines de plus sont visés à l'abattage. Veuillez dire au service de l' intérieur de réaliser son travail de protecteur des loups, au lieu de permettre qu'ils soient tués.

PETITION

Merci pour les loups gris


Traduction du message adressé à Dirk Kempthorne, service de l'intérieur


Je trouve inexcusable que plus de 100 loups gris dans les Rocheuses nordiques aient été tués depuis que votre agence leur a retiré la protection d'espèces en voie de disparition en mars -- et que plus de 80 % de la population de loups pourraient être abattus dans le cadre des lois d'état et des plans.

Le retour du loup gris dans les Rocheuses nordiques est l'un des plus grands exemples de succès de la faune d'Amérique. Dans le parc national du Yellowstone, en particulier, il est clair de constater comment le retour du loup a rétabli l'écosystème -- permettant à des faucons, à des aigles, à de petits animaux et à des arbres de s'épanouir. Ramener la population de loups au but du gouvernement fédéral de seulement 300 animaux pousserait ces espèces emblématiques de nouveau au bord de l'extinction.

Votre agence est chargée de la protection de la faune sauvage, et non de permettre leur tuerie. Veuillez assurer un avenir sain pour les loups du Yellowstone et des Rocheuses nordiques en assurant le plein rétablissement et les écosystèmes reliés. Tous les citoyens devraient pouvoir apprécier que les futures générations puissent admirer ces magnifiques animaux emblématiques de l'ouest américain. Merci.
Sincèrement,
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16 juillet 2008 3 16 /07 /juillet /2008 22:24


Je transmet :



La réserve nationale arctique -- appelée le Serengeti de l'Amérique -- est l'un des habitats terrestres les plus importants pour les ours blancs d'Amérique luttants pour leur survie et l'habitat du caribou, du renard des neige et de millions d'oiseaux migrateurs.

Mais cela n'arrête pas l'administration Bush/Cheney et ses alliés au congrès de pousser pour remettre cet endroit spécial à de grandes plates-formes pétrolières.


Ces animaux magnifiques luttent pour leur survie et des études scientifiques récentes ont révélé que les ours blancs pourraient disparaître totalement d'ici 2050. Le service de pêche et de faune a juste classé l'ours blanc comme « menacé » sur la liste des espèces en voie de disparition.

La décision récente de protection de l'ours blanc implique pourtant des dispositiions de forage.
Si le forage -- et le développement qu'il entraîne -- est autorisé dans cet habitat unique, les ours blancs peuvent abandonner leurs repaires, laissant des animaux mourir.

Prenez une mesure maintenant -- dites aux sénateurs de rejeter le forage dans la réserve nationale arctique et de soutenir des protections permanentes pour cet endroit unique, en signant cette pétition

Merci pour la faune arctique

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16 juillet 2008 3 16 /07 /juillet /2008 21:51

 

Les baleines franches d'Atlantique nord migrent par les voies de navigation occupées par des bateaux sur le littoral oriental, mais l'administration Bush/Cheney refuse d'intervenir et ne fait rien alors que ces mammifères marins sont en danger d'extinction.

Les baleines franches font partie des espèces les plus rares de mammifères marins et les scienfifiques estiment qu'il ne resterait que 300 à 400 spécimens.


Mais il existe un nouvel espoir : L'acte de réduction de grève de bateau de 2008 (S. 2657) présentée au congrès par Sens. John Kerry et Olympia Snowe, qui fournirait des limitations de vitesse si nécessaire pour certains types de bateaux qui se déplacent sur les voies de migrations des baleines franches d'Atlantique nord.

Veuillez svp dire aujourd'hui aux sénateurs de protéger ces baleines en soutenant cet acte de réduction de grève de bateau de 2008


PETITION



Merci pour les baleines
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16 juillet 2008 3 16 /07 /juillet /2008 21:20
Je transmet :

 

La pêche commerciale à la baleine est interdite depuis 1996 par la Commission internationale de pêche à la baleine, mais l'Islande vient d'annoncer qu'elle défiait cette interdiction de protection environnementale et permettra de chasser cette année 40 petites baleines et baleines "d'aileron" en danger d'extinction.


Alors que le réchauffement global menace de plus en plus les baleines, il est bien plus crucial d'arrêter la chasse à la baleine. Invitez en urgence le ministre de la pêche de l'Islande à retirer la permission de chasse dès aujourd'hui !

PETITION

Merci pour les baleines

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16 juillet 2008 3 16 /07 /juillet /2008 20:51

 
 

La forêt boréale du Canada est l'habitat principal pour la survie et la reproduction de plusieurs espèces d'oiseaux du monde -- incluant presque 40% des canards, des oies, et des cygnes de l'Amérique du Nord. En fait, tous les ans, plus de 300 espèces d'oiseaux, y compris des canards de bufflehead, les chickadees boréaux, fauvettes, moineaux et plus, passent du temps dans cet endroit unique.

Mais les industries de forage de gaz et de pétrole empiètent rapidement cet habitat principal de la forêt boréale pour les oiseaux et toute autre faune. Et avec juste 8% de la forêt boréale maintenant protégée, cet endroit unique est sacrifié chaque année pour des bénéfices.

Ajoutez votre voix à l'appel pour une gestion plus responsable de ce trésor. Envoyez votre message invitant le gouvernement canadien à protéger la forêt boréale.

PETITION

Merci pour les oiseaux



Traduction de la lettre que vous enverrez en signant cette pétition :


Cher premier ministre Harper :

 

Je suis fièr(e) de soutenir la conservation d'un des plus grands écosystèmes intacts de la planète : la forêt boréale du Canada. Les forêts, la tourbe, les lacs et les fleuves boréaux sont le milieu naturel pour les milliards d'oiseaux se reproduisant chaque année, représentant plus de 300 espèces d'oiseau. Ce qui a valu à la forêt boréale le titre de « nurserie d’oiseaux d’Amérique du Nord» .

La reproduction de beaucoup d’oiseaux migrateurs du nord, du centre et du sud de l'Amérique dépend de cet endroit unique – espèces telles que la fauvette (palm warbler), le bufflehead (espèce de canard), et même la grue (whooping crane) mise en danger.

La forêt boréale du Canada est également l’habitat principal des dernières grandes populations de la faune comprenant les loups, l'ours gris, le lynx, le caribou et des espèces en voie de disparition. Et elle est l’un des plus grands entrepôts terrestres de carbone, aidant à nous protéger du réchauffement global. Elle est la terre natale de centaines de communautés indigènes qui comptent sur cet endroit pour un mode de vie traditionnel.

Le Canada est envié pour ses paysages mais moins de 8% de la forêt boréale est protégée tandis que 30% a été assigné au développement industriel. Déjà, nous avons été témoins de graves déclins parmi les espèces d'oiseaux pour lesquels le Canada a la plus grande responsabilité -- comme le rusty blackbird (merle), bay-breasted warbler (fauvette) et surf scoter , qui ont diminué de 50-90% ces dernières décennies. L’exploitation pour le pétrole et le gaz, ou pour le bois de construction, n'est pas l’héritage que je veux laisser à mes enfants ou petits enfants.

Au lieu de cela, je veux laisser un héritage de conservation et de développement durable qui permettra aux générations futures de continuer d’admirer les beautés de la forêt boréale canadienne, qui représente l’un des derniers lieux de conservation au monde. Le Canada a la chance de pouvoir le protéger et de prouver au monde que la préservation et le développement économique peuvent coexister.

Je demande à votre gouvernement d’adopter les principes du cadre de conservation de la forêt boréale, demandant de protéger au moins 50% de sa superficie et de soutenir le développement durable dans les secteurs restants.

Sincèrement,

 

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