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pour donner aux hommes
une impression de supériorité.

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14 novembre 2008 5 14 /11 /novembre /2008 17:58

Au moins 627 animaux sont en voie de disparition au Brésil, un nombre qui a triplé en quinze ans, rapporte le "Livre Rouge de la faune brésilienne menacée de disparition" lancé mardi à Brasilia.

"Notre faune est tellement menacée que les chiffres ont triplé", a souligné le ministre brésilien de l'Environnement Carlos Minc lors de la présentation du livre qui détaille les espèces d'animaux en danger, leur habitat et les types de menace.

Les causes principales "qui mettent en danger notre faune sont la déforestation, les incendies, la transformation des forêts natives en culture de soja ou en pâturages, les invasions sauvages de terre dans nos parcs, le trafic d'animaux sauvages, les pesticides qui affectent toute la chaine alimentaire, la pêche excessive", a énuméré M.Minc.

Les espèces menacées sont 69 mammifères, 160 oiseaux, 20 reptiles, 16 amphibiens, 154 poissons et 208 invertébrés, dont la liste a été dressée en 2004. La précédente liste datait de 1989 et comportait 218 espèces.

De 1989 à 2004, 79 animaux dont l'épervier royal ont cessé d'être en danger mais 418 autres sont entrés dans la liste.

60% des espèces menacées sont originaires de la Forêt Atlantique, la végétation qui recouvrait tout le littoral brésilien et dont il ne reste aujourd'hui que 27% de la superficie. En Amazonie, les animaux mennacés sont au nombre de 57 (9,1%) et dans le Pantanal, une région marécageuse, 30 (4,7%).

La liste actuelle inclut pour la première fois les poissons dont la baleine bleue et le lamantin.

Plusieurs espèces de singes comme le lion tamarin et de félins comme le chat suavage sont menacés.

Le Brésil (8,2 millions de Km2) a la plus grande bio-diversité du monde avec l'Indonésie. Il abrite 10% des mammifères et 13% des amphibiens.

Au total, on dénombre 530 espèces de mammifères, 1.800 d'oiseaux, 680 de reptiles, 800 d'amphibiems et 3.000 de poissons.

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14 novembre 2008 5 14 /11 /novembre /2008 17:53

La présidence française de l'Union européenne est pour un renforcement de la coopération scientifique internationale dans l'Arctique, une région menacée par le changement climatique.
Cet environnement exceptionnel fond déjà comme neige au soleil mais pourrait aussi être dépouillé de ses richesses naturelles. L'Arctique  renfermerait le quart des réserves mondiales toujours pas découvertes (hydrocarbures et gisements de minerais). Ces exploitations non réfléchies pourraient avoir de graves conséquences sur l'écosystème.

L'Océan Arctique

Ce n'est pas imaginable qu'il y ait des données connues et non partagées

"Il faut qu'il y ait un système de recherche unifié... Les nombreux programmes de recherche ne sont pas coordonnés" indique Jean-Louis Borloo, ministre de l'Ecologie. Ce dernier ajoute : "Il n'est pas imaginable qu'il y ait des données scientifiques connues et non partagées". Quant à la question d'un éventuel traité sur la protection de l'Arctique, Jean-Louis Borloo précise : "Elle ne se posera qu'après la conférence des Nations unies sur le climat prévue à Copenhague en décembre 2009".  

Une tâche ardue pour l'Union européenne

Mais la tâche de l'Union européenne sera ardue car elle doit compter avec les Etats-Unis, la Russie et le Canada, très intéressés par les réserves potentielles de gaz et de pétrole. Et contrairement à l'Antarctique, l'Arctique n'est pas protégée par un traité international.
Le Parlement européen s'est prononcé en octobre pour l'adoption d'un traité international pour la région, selon une résolution défendue par l'ancien Premier ministre français Michel Rocard.

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14 novembre 2008 5 14 /11 /novembre /2008 17:49

Un « comité pour la biodiversité » regroupant des élus et des associations a été créé pour protéger la diversité du vivant, annonce Marie-Christine Blandin (Verts), sénatrice du Nord, et Jean-François Legrand, sénateur UMP de la Manche.
 

Coraux


Prendre en compte la biodiversité
 
Ce comité auquel participent également des représentants des syndicats et du patronat, sur le modèle des groupes de travail du Grenelle de l'environnement, vise à informer et à proposer des pistes pour que la biodiversité soit mieux prise en compte à tous les niveaux.
 
« Il y a encore beaucoup de décideurs qui n'ont pas compris que les services rendus par la biodiversité sont le ferment de notre vie », estime Mme Blandin devant la presse.
 
Le financement de ce comité sera assuré par les cotisations des membres mais « on espère aussi du mécénat », indique Christophe Aubel, porte-parole de la ligue Roc pour la protection de la nature.
 
Et pour éviter des doublons avec les actions qui pourraient être prises par ailleurs dans le cadre d'autres organisations, une « charte de qui fait quoi » va être établie, assure la sénatrice.
 Le saviez-vous ?

Le saviez-vous ?

Dans la foulée du Grenelle de l'environnement, une Fondation scientifique pour la biodiversité avait été créée en février par les ministères de l'Ecologie et de la Recherche. Celle-ci regroupe les organismes de recherche et vise à faire partager au plus grand nombre (public et milieux économiques) la connaissance des organismes vivants animaux et végétaux.
 

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14 novembre 2008 5 14 /11 /novembre /2008 17:47

La Cour suprême des Etats-Unis a autorisé la Marine américaine à poursuivre ses entraînements au large de la Californie et à utiliser un sonar dont la fréquence peut perturber baleines et dauphins, au nom de l'intérêt national.
 

Une famille de baleines


Décisions de protection des mammifères marins renversées
 
En effet, la plus haute juridiction du pays, sur demande expresse du président Bush, a donné raison à l'armée qui jugeait que les intérêts de la défense nationale devaient primer sur les exigences environnementales.
 
Elle a ainsi renversé les décisions de plusieurs tribunaux qui s'étaient prononcés en faveur des associations de défense de l'environnement pour que la Marine utilise un sonar de moyenne fréquence avec précaution et notamment après avoir vérifié qu'il n'y a avait pas de mammifères marins dans un périmètre de 2 km.
 
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14 novembre 2008 5 14 /11 /novembre /2008 17:44

Qu'est-ce qui est le plus important : la défense nationale d'un pays ou le bien-être des baleines et des dauphins ? La Cour suprême des Etats-Unis a tranché en autorisant la Marine américaine à poursuivre ses entraînements au large de la Californie (ouest) et à utiliser un sonar dont la fréquence peut perturber des baleines et des dauphins.
"Nous n'écartons pas l'importance des intérêts écologiques, scientifiques et récréatifs des mammifères marins mais la nécessité pour la Marine de s'entraîner dans les conditions du réel pour s'assurer qu'elle est capable de neutraliser la menace posée par des sous-marins ennemis l'emporte clairement" explique John Roberts, président de la Cour suprême des Etats-Unis.

Dauphins

"Les fréquences de sonor provoquent la surdité des mammifères marins"

Des associations environnementales et de nombreux scientifiques, qui estiment que la Navy aurait du préparer un rapport sur l'impact environnemental de ses entraînements (un rapport obligatoire selon la loi américaine), ont récemment mis en pleine lumière que certaines fréquences de sonar provoquent la surdité temporaire des mammifères marins, les désorientant voire les amenant à s'échouer sur la côte et à mourir.
Il faut savoir que  la Navy utilise un sonar à moyenne fréquence afin de détecter des sous-marins potentiellement ennemis et cet entraînement a commencé en février 2007.

"La Navy reconnaît que le sonar peut peruturber les mammifères marins"

La Navy de mauvaise foi ? Pas vvaiment car elle a reconnu que ce sonar pouvait perturber 170.000 mammifères marin, provoquer la surdité temporaire de 8.000 baleines et des blessures malheureusement irréversibles pour environ 430 d'entre elles.

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14 novembre 2008 5 14 /11 /novembre /2008 17:39

 

Les spectateurs qui s'amassent autour de l'arène ne sont pas là pour une course de chevaux, mais bien pour un combat à mort entre étalons.

Cette pratique des combats de chevaux est courante et très populaire aux Philippines, bien qu'elle soit interdite depuis dix ans. Grâce à une police locale plus que corrompue qui en supervise l'organisation, un festival de trois jours est même organisé chaque année dans les jungles des îles de Mindanao.

Les étalons sont entraînés à mordre et à donner des coups, et surtout sélectionnés pour leur force et leur agressivité. Celle-ci est d'autant plus excitée qu'une jument en chaleur est communément placée au milieu de l'arène, créant ainsi la rivalité entre les deux étalons.

Le principe est le même que dans tout combat : deux adversaires, et des spectateurs qui parient sur celui qui conservera la vie. S'ensuit alors une véritable boucherie, des chevaux au mieux blessés, au pire littéralement massacrés et "cuisinés" pour la foule. Chaque année, il en meurt ainsi plusieurs milliers, souvent d'épuisement, ou des suites de leurs blessures.

Voici quelques images passées lors d'un JT américain, prises par SkyNews :

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14 novembre 2008 5 14 /11 /novembre /2008 12:34
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14 novembre 2008 5 14 /11 /novembre /2008 11:56



CAMPAGNE D'AFFICHAGE FBB

 























En cette fin d'année 2008, la Fondation Brigitte Bardot frappe fort
avec une campagne au ton cynique qui s'affichera sur Paris et
l'ile de France, dans le métro et sur les flancs de bus, sur Lille,
Strasbourg, Lyon, Marseille, Toulouse, Cannes, Nantes, Bordeaux, Nice.


 



























Mais l'offensive de la fondation Brigitte Bardot contre la fourrure ne
s'arrête pas là. Elle prévoit une campagne radio, sur internet, dans la
presse et au cinéma.


 



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10 novembre 2008 1 10 /11 /novembre /2008 18:14



Loin d'être cicatrisé, le trou dans la couche d'ozone a atteint en septembre l'une des plus importantes superficies de son histoire, l'équivalent de l'Amérique du Nord au grand complet.

Malgré ce record, qui ne les surprend guère, les chercheurs ont bon espoir de voir le trou se résorber vers le milieu du siècle.

C'est le 12 septembre dernier que le fameux «trou» a atteint cette taille, la cinquième en importance depuis le début des observations scientifiques, en 1962, a révélé hier le National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA).

Le trou, plutôt que de se refermer, a ainsi pris de l'expansion entre 2007 et 2008, une situation que l'on attribue en grande partie aux froides températures de la stratosphère.

«Nous sommes actuellement dans une période de maximum pour le trou d'ozone, explique Michel Bourqui, professeur de sciences atmosphériques à l'Université McGill. Cette période devrait durer encore quelques années, après quoi le trou devrait commencer à se refermer.»

Fait intéressant, les concentrations de CFC, ces gaz industriels responsables de l'amincissement de la couche d'ozone, commencent à décliner, selon M. Bourqui. Cela signifie que les premiers CFC, qui ont commencé à être utilisés de façon industrielle dans les années 50, arrivent à la fin de leur durée de vie (entre 50 et 100 ans).

«On estime que le trou devrait revenir aux concentrations de 1970 autour de 2050. Cela, parce qu'il faut beaucoup de temps pour éliminer les CFC de la stratosphère», précise M. Bourqui.

La taille maximale du trou observée cette année était d'un peu plus de 27,2 millions de km2, avec une profondeur de 6 km. C'est légèrement moins que le grand record de 29,5 millions de km2 atteint en 2006.

«Les fluctuations peuvent être très importantes d'une année à l'autre, selon la force du vortex polaire, note Patrick Ayotte, professeur-chercheur en chimie à l'Université de Sherbrooke. C'est dû en partie à la masse continentale de glace qui recouvre l'Antarctique, qui provoque ce vortex.»
La couche d'ozone est en quelque sorte le parasol de la terre. Elle protège les organismes vivants, dont les hommes, des rayonnements ultraviolets (UV) émis par le soleil. Les CFC produits par l'homme, que l'on trouvait surtout dans les bombes aérosols, les réfrigérateurs et les autos, provoquent chaque année une réduction massive de l'ozone (familièrement appelée un «trou») au-dessus du pôle Sud et, plus légèrement, au-dessus du pôle Nord.

C'est au milieu des années 80 que la communauté scientifique a constaté que la couche d'ozone s'amincissait, ce qui permettait aux rayons UV de pénétrer plus facilement dans l'atmosphère.

Cette situation a aussitôt été portée à l'attention de la communauté internationale, en raison de l'effet néfaste des rayons sur les cultures, sur la croissance des forêts et, surtout, sur la santé humaine. Les UV peuvent en effet s'attaquer aux yeux, faire vieillir prématurément la peau, voire provoquer des cancers de la peau.

Voilà pourquoi la communauté internationale a su agir avec célérité dans ce dossier. En 1987 à Montréal, 188 pays ont signé un traité international salué depuis pour son grand succès.

Ce protocole visait la réduction progressive de la consommation, de la production et de l'exportation de huit substances néfastes pour la couche d'ozone, notamment les CFC, qui ont été interdits dès 1996.

L'année dernière, les signataires ont célébré les 20 ans de l'accord en le resserrant un peu. Réunis à Montréal, ils se sont engagés à abandonner l'utilisation d'un autre gaz nocif pour la couche d'ozone - les hydrochlorofluorocarbones (HCFC) - 10 ans plus tôt que prévu (2020 pour les pays industrialisés, 2030 pour les pays en développement).

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4 novembre 2008 2 04 /11 /novembre /2008 10:46



Au cours du mois de Juin dernier, par un frais matin dans le sud-ouest de l'Alaska, quatorze petits loups ont été tirés de leurs tanières et ont reçu une balle dans la tête, un par un, par les biologistes sanctionnés par le gouverneur Sarah Palin. À un mois, ces petits bébés ont ouvert les yeux et les oreilles moins de deux semaines plus tôt. Ils ont osé s'aventurer hors de l'obscurité de la sécurité une ou deux fois. Ils avaient grandi dans les roulements, les grattages, les jeux de lutte entr'eux mais qui allait s'occuper d'eux maintenant ?

Ils dépendent encore entièrement de leurs parents et leur meute pour la nourriture, le refuge, la protection. Mais chaque membre adulte de leur meute a déjà été abattu au-dessus de l'Alaska par des travailleurs de l'Etat qui ont tiré sur eux. Ces petits n'ont rien fait d'autre pour mériter une telle malveillante et rapide fin de vie que d'être nés loup en Alaska, dans l'ère de Sarah Palin.


Pour la plupart des Américains, c'est atroce. Mais pour ceux d'entre nous qui ont vu Sarah Palin au travail au cours des deux dernières années, ce n'est pas du tout surprenant. En tant que gouverneur, Palin a élargi la chasse aérienne en Alaska plus loin et plus vite que n'importe quel prédécesseur, jusqu'à ce que tous les prédateurs soient la cible d'extermination comme de la vermine.


J'ai vécu en Alaska pendant près de 25 ans, assez longtemps pour voir les nouveaux cycles de contrôles des prédateurs. Mais jamais la mise à mort des loups et des ours afin de gonfler les chiffres de l'orignal et du caribou aura été si répandue et mesquine que sous le règne de Palin.

Sous Palin, les citoyens tuent des loups d'avions sous le couvert du controle des prédateurs. Ils poursuivent les loups jusqu'à l'épuisement, et puis tirent sur eux. Sous Palin, pour la première fois en 20 ans, les loups sont également abattus d'hélicoptères affrétés par l'etat. Palin a autorisé la dépense de $ 400,000 en fonds publics pour faire de la publicité pour persuader les habitants de l'Alaska de voter contre une initiative de vote qui aurait limité la chasse aérienne. Sa propagande a été couronnée de succès; la mesure de vote a échoué.

Sous Palin, pour la première fois depuis les statuts de l'Etat d'Alaska en 1958, il est légal de faire de la terre et de tirer pour assassiner les ours et leurs petits. Sous Palin, le controle des prédateurs s'est propagé de une à cinq régions d'Alaska, à plus de 60000 kilomètres carrés, plus qu'à aucun autre moment depuis les statuts de l'État. Près de 800 loups ont été abattus d'avions et quelque 2000 sont tués chaque année par d'autres méthodes. Et ce sont seulement les morts rapportées. Palin est même allée jusqu'à l'année dernière mettre une prime sur les loups, elle voulait payer 150 $ pour une preuve pour chaque loup mort. Merci a "Friends of Animals", "Alaska Wildlife Alliance", et "Defenders of Wildlife", sa prime sur les loups a été déclarée illégale par les tribunaux.

Des scientifiques de la faune à travers le pays sont consternés par le programme sur les prédateurs de Palin, en notant qu'il ne répondait pas aux normes recommandées par le Conseil de la Recherche National US de justifier, de mettre en œuvre, de suivre et d'évaluer. L'an dernier, 172 scientifiques ont écrit à Palin, l'avertissant que si elle faisait parvenir la population des orignaux et des caribous a ce taux historiquement élevé qu'elle a demandé, ce serait le retour en arrière d'un grand chemin fait pour l'environnement : non seulement elle a mis à risque à long terme la santé des loups d'Alaska, mais également celle des populations d'orignal et de caribou, qu'elle a cherché à augmenter.

Palin voudrait que le reste des Américains croient que cet abattage massif est acceptable, voire nécessaire. Elle pointe les cinquante ans des statuts de l'Etat dans lesquels les loups n'ont pas disparu. Mais l'ampleur de la tuerie dépasse maintenant de loin tout ce que nous avons jamais vu.


Même de nombreux chasseurs d'Alaska sont de plus en plus indignés par le "hors de contrôle" du controle des loups de Palin. Plus récemment, elle a essayé de donner encore plus de pouvoir au Conseil d'administration du jeu le seul qu'elle désigne. Cela, a écrit le comité des chasseurs et des pêcheurs à la ligne d'Alaska, donnerait à son conseil d'administration encore plus de marge, sans aucune contribution scientifique pour faire l'enfer, qu'ils voulaient essentiellement. Ce programme a été un véritable œil au beurre noir pour tous les chasseurs d'Alaska, et pour notre état.

Contrairement à ce que Palin voudrait que les Américains croient, seulement 14 pour cent des habitants d'Alaska chassent. Parmi ceux-ci, un petit pourcentage sont de véritables chasseurs de subsistance. Palin veut que les loups et les ours soient rayés du paysage, aussi il est plus facile pour les chasseurs en milieu urbain de perpétrer leur meurtre en un week-end.

Ne vous laissez pas tromper : Wasilla a autant de magasins "grand-box" et "fast-food" que n'importe quel autre endroit en Amérique, et autant de possibilités de gagner de l'argent pour acheter de la nourriture. Les habitants d'Alaska n'ont pas payé l'impôt sur le revenu pendant des décennies, et à la place ont obtenu plus de 1000 $ par an de dividendes pour chaque homme, femme et enfant. Ce n'est pas la nécessité économique qui entraîne la tuerie des loups.

Au cours des débats du gouverneur de l'Alaska, Palin a parlé avec tellement de passion haineuse sur la nécessité de tuer les loups et les ours que cela a raisonné comme si nous avions été jetés dans l'âge des ténèbres de la gestion de la faune, lorsque des primes étaient versées pour les pattes des aigles à tête blanche, les nageoires des phoques et des lions de mer, les peaux de renard, de coyote, de loup, et d'ours. Oui : les aigles à tête blanche. Ils étaient blâmés pour manger trop de saumons.


PETITION

Merci pour les loups
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